jeudi 21 juin 2012

Un jour férié, un asado

un maté et du soleil


Hier, « journée nationale du drapeau ». Et oui rien que ça. Pour honorer la bannière : un jour férié bien évidemment.
Alors pour cette journée patriotique, le froid s'est éclipsé 24 heures, laissant une trêve printanière à la ville.
Moi, j'ai filé vers le sud de la capitale. A l'assaut de la périphérie, plus précisément à Bernal. Après une heure de bus je suis arrivée dans un quartier résidentiel, peuplé d'étudiants et de mamies. A cet endroit, la ville reprend des dimensions humaines, tout le monde se salue et se reconnait. Une autre ambiance, une autre image de Buenos Aires  m'est alors apparue.
J’ai passé la journée chez les grands-parents d'une copine argentine à manger le traditionnel et inévitable asado (barbecue). Décidément, tous les prétextes sont bons pour allumer la Parilla. 



Après avoir ingurgité une quantité incroyable de viande "la plus bonne du monde" selon les propos du grand père, petite parenthèse artistique. L’amie argentine peignant les murs de l’un des bars du quartier. 



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