Premier étage du musée Malba |
Hier, journée culturelle et
journée de marche.
Il y a deux ans, je n'avais pas poussé la porte de tous les
musées, alors pour rectifier cet impair, hier je suis allée au Malba. Un musée
d'art contemporain latino américain.
Pour s'imprégner de la ville,
choper des odeurs à la volée, saisir des moments de vie, rien de tel que de
marcher le long des rues quadrillées. Alors je me suis faufilée à travers la
pollution pour me rendre dans ce beau musée. Mais pas de chance, un des deux
étages était fermé. Par contre le mercredi c'est gratuit pour les
étudiants.
Dans le musée, interdiction de
prendre des photos. J'en ai pris, jusqu'au
moment ou le charmant monsieur assis sur sa chaise a relevé les yeux de son Smartphone.
C’est là que j'ai pris un air innocent et ai rangé l'appareil.
Voilà donc, un petit aperçu de ce musée
surprenant.
En chemin j'ai fait une petite pause dans un café. Près du musée. Autant dire dans les beaux quartiers. Pour accompagner mon café, j'ai pris le journal : Clarin. En pages internationales, Hollande et les législatives. Mais aussi un article sur "l'affaire" Valérie Trierweiler et Ségolène Royal. J'ai alors appris que notre première dame de France avait un père qui avait un jambe en moins, et que S. Royal avait demandé à ses parents de divorcer lorsqu'elle avait 19 ans... Que d'apprentissages aujourd'hui!
Café journal |
Oh là là! Tu me fais rêver, ça donne envie d'être en vacances...
RépondreSupprimerJ'adore ce banc qui prend la fuite! Continue d'ouvrir grand les yeux et de prendre des photos interdites, hihihi!
Je te fais de grooos bisous!
Je reviens d'une semaine de vacances... euh, de travail, pardon et je découvre avec plaisir tes articles et tes photos!
RépondreSupprimerHeureusement que tu peux, même à l'autre bout du monde, t'informer des conneries, euh, affaires importantes, qui régissent nos vies politiques ou la vie de nos politiques.
Génial tes photos, mais dit, tu fais du recadrage après coup toi aussi, ou tu as deux appareils différents?
En tout cas, continue, on en veux, on en veux!
Bisous,
paco.