Au premier coup d'œil il
semblerait que presque rien n'a bougé, les collectivos (bus) font toujours
autant de bruit, les kioskos (petite boutique qui vend de tout) restent ouverts
à l’infini, l'enchevêtrement de maisons et d'immeubles immuable, les trottoirs
défoncés sont toujours remplis de surprises, les ramasseurs de cartons,
infatigables, entassent leur trésor sur leur charriot, tout est là.
En revanche, si quelque chose
a bien changé, ce sont les prix. Tout a augmenté. Pour preuve, l'empanadas (sorte
de petit beignet - spécialité culinaire d’ici - rempli au choix de fromage, de viande,
de jambon…) est à 5 pesos (un peu moins d'un euro) alors qu'elle ne coûtait que 3
pesos il y a deux ans.
Cela fait deux jours que je suis ici. L'espagnol
revient petit à petit. J’ai revu les copines, bu mon premier maté. Je retrouve
mes marques dans ce grand capharnaüm porteno : avide de nouvelles
expériences argentines.
Par chance le soleil m'accompagne, le froid aussi, mais
c’est largement supportable.
ah voilà les aventures qui reprennent!
RépondreSupprimerHâte de lire la suite
Je t'aime tu me manques deja