Comme je tente de vous le montrer tout au long de ce blog la capitale Argentine réserve à chaque "esquinas" un trésor. Il ne brille pas, il n'est pas majestueux, ni grandiloquent, mais en le regardant de plus près on peut y trouver un moment de poésie, une beauté toute simple enfouie sous les traces du temps, ou alors un côté sauvagement ironique.
Les yeux que je porte sur Buenos Aires ne cessent de changer mais restent toujours enchantés par tant de bizarreries. Chaque voyage en bus, surtout si je suis assise, car l'exercice s'avère difficile la tête écrasée sous l'aisselle de la personne d'en face, est pour moi une "chasse aux trésors" d'un nouveau genre.
Prenant le même chemin tous les jours j'essaie alors de dénicher le petit détail qui m'aurait échappé et je vous assure que je reviens toujours avec mon "panier à souvenirs" un peu plus plein.
En parcourant Buenos Aires pour la faire visiter à ma maman et ma sœur j'ai pu approcher de plus près des petits bouts de cette immense ville. Et il faut prendre cela au sens premier, car je l'avais déjà vu en carte postal, mais aussi de loin du haut d'un pont, mais jamais je n'avais été sous cette fleur métallique.
A récoleta sur la place Venezuela un petit panneau explique que cette grande fleur s'ouvre au levé du soleil et se ferme quand il se couche, une fleur métallique mécanique de surcroît.
Mais le meilleur c'est que cette fleur a été construite en l'honneur de toutes les fleurs du monde dit le petit panneau en conclusion! Alors ça, ça me plait, moi que l'on appelle fleur des fois ici!
Alors voilà ma petite fleur de sœur et moi devant cette curiosité "portégnène".
